Le Conseil communal du 25 septembre dernier a été marqué par une intervention percutante de Patrick Vantomme, mettant en lumière l’absence de responsabilité de la commune dans le soulèvement de la dalle dans le bâtiment scolaire en construction. Selon notre groupe, la responsabilité incombe aux architectes, au bureau d’études et aux entrepreneurs. Nous regrettons que la commune n’ait pas pris plus tôt la décision de faire appel à un avocat et à un expert indépendant. Cette affaire complexe soulève des questions cruciales concernant la répartition des coûts des travaux et les délais de livraison.
Dès le début de son intervention, Patrick a insisté sur le fait que la commune avait toujours agi dans le respect du contrat initial. Elle avait mandaté des professionnels pour construire un bâtiment scolaire répondant aux besoins définis dans le projet initial, livré en parfait état et couvert par une garantie décennale. Par conséquent, nous estimons que la responsabilité incombe principalement au bureau d’étude et aux entrepreneurs, ainsi qu’à leurs assurances respectives.
Nous déplorons donc que la commune n’ait pas pris la décision de recourir à un avocat et à un expert indépendant dès le début de cette affaire. Nous considérons que cette étape aurait pu éviter les tentatives des assurances, du bureau d’étude et des entrepreneurs de transférer une partie du coût des travaux à la charge de la commune. Actuellement, cette tentative se déroule sous le prétexte d’une prétendue amélioration de la salle de sport. Patrick Vantomme n’a pas oublié pas de mentionner que la commune pourrait elle-même réclamer des dommages, car la salle ne pourra être disponible dans les délais, alors que l’école en a un besoin urgent.
En conclusion, l’intervention de notre groupe met en lumière les enjeux juridiques et financiers importants qui entourent cette affaire. Le choix de la commune de désigner un avocat spécialisé sera déterminant pour l’issue de ce dossier complexe.