Lors du Conseil communal du 25 mars, José Lericque, a soulevé une question cruciale concernant l’utilisation des réseaux sociaux, en particulier Facebook, à des fins politiques. Son intervention a mis en lumière une pratique préoccupante : l’exploitation des pages dédiées aux villageois pour de la propagande politique.
Lors du dernier Conseil communal, José Lericque a soulevé une problématique cruciale concernant l’utilisation des réseaux sociaux, en particulier Facebook, à des fins politiques au niveau local. Dans son intervention, il a mis en lumière une pratique préoccupante : l’exploitation des pages dédiées aux villages et à la commune pour la propagande politique.
José Lericque a souligné que bien que techniquement permise, cette pratique est profondément malsaine dans son utilisation des réseaux sociaux. Les pages locales sur Facebook, initialement conçues pour informer et faciliter les échanges entre citoyens, sont devenues des plateformes pour diffuser des activités politiques, ce qui pollue le flux d’information et détourne leur objectif initial.
Il a également dénoncé le fait que certaines de ces pages sont gérées directement par des politiciens, soulevant ainsi des questions éthiques quant à l’utilisation de ces outils de communication à des fins partisanes ou personnelles.
En tant que membres du Conseil communal, José Lericque a rappelé à ses collègues leur devoir de promouvoir des pratiques éthiques et transparentes, surtout en ce qui concerne la communication avec les citoyens. Il a souligné l’importance de veiller à ce que les ressources et les plateformes mises à disposition des habitants soient utilisées de manière équitable et dans l’intérêt de tous.
Dans cette optique, José Lericque a appelé à la réflexion et à la prise de mesures pour garantir que les pages sur les réseaux sociaux demeurent des espaces d’information neutres. Alors que les élections approchent, il a insisté sur la nécessité de permettre aux citoyens de se concentrer sur de véritables échanges plutôt que d’être submergés par des messages vantant les activités politiques.
En conclusion, José Lericque a exprimé l’espoir que ses collègues au Conseil communal travailleront ensemble pour promouvoir une communication locale plus éthique et respectueuse des citoyens. Son appel à une utilisation éthique des réseaux sociaux dans le contexte politique local souligne l’importance de préserver la transparence et l’intégrité dans la communication avec les citoyens d’Estaimpuis.